Saveur(s)

Nothing special (2)

Je poursuis ma lecture de Nothing special, living zen de Charlotte Joko Beck...

Sisyphe et le poids de la vie
Joko traite le mythe de Sisyphe comme un koan. Quand nous trouvons notre fardeau déplaisant nous avons tendance à essayer de nous en débarasser, de le passer à quelqu'un. Ce n'est pas le fardeau qui est lourd, c'est le jugement que nous portons dessus qui le rend lourd et déplaisant. Après tout considérer la vie comme un fardeau, nous dit-elle, ce n'est qu'un concept, parce qu'en fait, on vit simplement sa vie ! Et en fait Sisyphe n'était pas condamné à l'enfer éternel, il était déjà libre parce qu'il faisait juste ce qu'il faisait. Ni plus ni moins.


Répondre à la pression
Nous avons tous notre manière de nous débrouiller face à la pression. Et notre schéma de réponse s'est mis en place dans notre enfance. Il faut souvent une vie de pratique pour que ce schéma se dissolve. L'intention de le dissoudre ne sert à rien, c'est plaquer du mental, entretenir des pensées positives aussi. La pratique c'est faire face à ce schéma, à ses peurs et s'asseoir avec.

Le baseboard (fondement ? plinthe?)
à venir...

Victime et sacrifice
Souvent nous avons l'impression d'avoir été des victimes. Et cela nous fait souffrir. Nous avons été sacrifiés, sans doute, et aussi nous avons sacrifié les autres. S'en sentir coupable cela n'aide pas, en fait c'est même une manière de rester centré sur soi, de rester dans la pensée. La seule chose que nous pouvons faire, c'est rompre la chaine des sacrifices en vivant en conscience, ici et maintenant,  'at one" dit Joko

pour lire le début






29/03/2007
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